Les coulisses d'un salon
On a chargé un camion avec une ou deux babioles dont un chauffeur et deux vendeuses.
A cette étape, nous sommes encore frais et dispos (ne te fie pas à mes cernes, je 'étais pas mack-upée.). Ce qui ne nous empêchera pas de faire deux retours @ home pour oubli dont, tout de même, tous les petits vêtements à exposer...
4h plus tard, on décharge. On essaye de s'y retrouver dans le labyrinthe de véhicules, portes, trucs à roulettes en tout genre et caisses en carton. Nous aurons même la chance de voir un camion roulé sur un patron. Et bien, sachez que le papier est bien plus résistant qu'on ne pourrait l'imaginer! C'est parti pour 5h de montage et de peinture. Oui, tu as bien lu "peinture". C'est que l'homme était bien décidé à ce que le stand soit d'un blanc impeccable et que malgré nos réticences, il a fallut abdiquer et roulotter... Et puis l'homme, on lui doit bien ça! (Les photos suivront... )
A y'est! Wouaw! Trop beau, trop fières!
Le matin: petite marche sur le boulevard Lefebvre. Oh, ben regarde, c''est l'église qu'on a croisé hier soir:
La journée: on raconte, on rencontre. On se retrouve sans Notholirion au jour 2, sans Salonenque au jour 3, sans Nozomi au jour 4 et là, on se dit m.... On est marqué par une dame qui ne sait pas coudre mais qui apprendra et qui se choisi un premier projet, par une jeune fille de 10 ans qui vient faire ses emplettes parce qu'elle adooore le point de croix, par des sourires, par des encouragements, par des compliments et là on se dit que tout ce boulot en valait bien la peine!
Le soir: on se remonte le boulevard. Jour 1: Roh non! On n'est même pas encore à l'église! Jour 2: Ne me dis pas où est l'église! Je ne veux pas le savoir! Jour 3: Non mais en fait, elle est super loin cette église! Jour 4: C'est la dernière fois qu'on passe devant l'église...
Après avoir rempli son estomac, on court s'allonger à l'hotel pour passer des soirée plus constructives les unes que les autres. J'ai donc appris que Justin Biber suivait attentivement "Dance avec les stars"... Qu'il ne faut pas commencer un tricot "Jared" de niveau 5 quand on est crevée, sous peine de tricoter et détricoter aussi sec et se dire que ce n'est pas parce qu'on est nulle, non! C'est parce qu'on a dans le sang une hérédité hellénique et qu'on aime faire de sa Pénélope! Et finir en révisant une chorégraphie culte. Petit hommage à ma tante sans qui je n'y serait jamais arrivée: